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miserable failure et Gilles de Robien
Trucs

Motorisé par Pivot - 1.40.4: 'Dreadwind'


12/11/2008
Retour au dépot (+1)

J'avais la veille dû promettre de me comporter comme un modèle de chrétienté, mais je souhaitais vérifier l'intérêt qui me pousse à être pédé. J'ai donc profité de l'absence de poussinet cette nuit pour sortir avant-hier. J'ai un peu hésité avant de choisir où aller me faire mettre.

J'ai décidé d'aller au dépôt. Cela faisait bien un siècle que je n'y avais pas mis les pieds et on m'avait dit que des travaux de rénovation avaient "amélioré" le lieu.

L'endroit a en effet beaucoup changé. Le bar principal est maintenant au sous-sol, le labyrinthe n'est plus du tout le même. D'ailleurs les toilettes y sont introuvables.

J'ai fait quelques tours de reconnaissance. Comme souvent, ceux que je poursuivait de mes assiduités restaient de marbre. J'ai croisé un gros roux, je me le serais bien fait, mais il était en slip, cela m'a refroidi.

J'ai pris le verre gratuit au bar pour patienter. Puis je suis retourné en chasse. J'ai recroisé le gros roux, habillé cette fois. Après quelques sourires réciproques, je l'ai suivi en cabine.

Nous nous sommes embrassés sans un mot. J'ai dégrafé son pantalon en lui caressant la bitte, elle avait l'air large. J'ai baissé son froc et empoigné son chibre pour le tâter de haut en bas. J'en ai profité pour baisser à mon tour mon pantalon et mon slip pour qu'il puisse me rendre la réciproque.

Il appuie alors sur mes épaules pour me faire comprendre ses envies. Peu contrariant, je me mets à genoux et le suce. Sa bitte est en effet large mais courte. Je m'applique, il commence à transpirer. Je me lève pour l'embrasser. Il change de position et s'assoie pour être plus à l'aise. Il appuie à nouveau sur mes bras pour que je le suce. Je m'exécute.

En levant les yeux, je vois son gros ventre et sa tête. Il ferme les yeux et sourit en gémissant. Je lèche ses couilles pour reprendre ma respiration. Dehors des cailleras se traitent mutuellement de putes. Je poursuis mon œuvre tout en caressant ses couilles : elles se rétractent, il va bientôt jouir. Je ralentis donc un peu, mais pas assez vite : il jouit dans ma bouche. Je recrache sa semence et tente d'enlever mon polo pour recevoir son sperme. Il continue d'éjaculer de lourdes giclées, j'en prends une sur les mains et mon gland, les autres se sont perdues dans la pénombre.

Il me dit qu'il a chaud et veut partir. Je tente sans succès de lui suggérer de me branler. Je lui demande son prénom pendant que nous remettons nos pantalons. Il s'appelle .

J'erre ensuite de longues minutes à la recherche des toilettes pour me nettoyer les mains. Je suis déçu car comme j'ai son sperme sur la bitte (et dans la bouche), je ne peux plus me faire un autre mec. Je finis par trouver les WC, il est là torse nu, il transpire comme un bœuf et se nettoie. Nous marmonnons deux ou trois mots. Je rentre dans une toilette et me masturbe, je jouis dans le trou de WC à la turque. Puis je me lave les mains, il est déjà parti.

Pour le coup je me demande vraiment quel intérêt j'ai à être pédé.

22:30 § | Sexe trouble