Afin de briser mon cercle alcool-sexe. J'ai voulu me prouver à moi-même que je pouvais très bien baiser sans alcool. Je suis donc retourné au boxxman.

Un rom m'a aussitôt sauté dessus pour me demander si je voulais être pompé. Comme il n'était pas mon type, j'ai rougit un peu et lui ai déclaré que j'étais moi aussi passif afin d'éluder son invitation.

Après quelques minutes d'observation et de recherche, j'ai fini par me laisser tenter par un type avec la quarantaine mais en chemise dorée et en short moulant. C'est le premier mec que j'avais croisé en bas et il me désirait depuis le début. Je veux aussi que l'on m'aime.

Je l'ai donc rejoint dans sa cabine après l'y avoir regardé quelques secondes. J'ai fermé la porte, nous nous sommes embrassés et caressés, avons descendu nos slips à nos chevilles et frottés nos bittes l'une contre l'autre. Il en avait une moyenne. Je me suis dit que c'était parfait. Puis il s'est mis à genoux et m'a sucé fort bien. Il m'a demandé de le prendre. Un peu déçu, je l'ai donc tourné vers le poste de télé et lui ai donné une dose de gel pour qu'il se prépare pendant que je mettais un préservatif. Après mettre mis un peu de gel à mon tour, je l'ai pénétré doucement. Son cul était un peu mou, mais chaud. J'ai peu à peu accéléré le mouvement. Après m'avoir dit qu'il aimait trop ma bitte, il s'est retiré. Il avait déjà joui sans que je m'en rende compte. J'ai donc enlevé mon préservatif pour me branler pendant qu'il m'embrassait et me caressait. J'ai joui sur le sol près de la télé.

C'est un restaurateur de banlieue, il voudrait me revoir. Je lui ré-explique gentiment le principe d'une backroom pour ne pas trop lui faire de peine. Je me lave les mains aux toilettes et récupère mon sac à l'étage. Nous sortons en même temps, mais séparément. Il part rue saint-Denis toujours dans son short moulant et sa chemise dorée, je trouve sa tenue vraiment osée.