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dimanche 6 Mars 2005

"Un amour à taire", lundi soir sur France 2

Ne manquez pas lundi soir le téléfilm de France 2 :

LUNDI - France 2 - 20.55 Un amour à taire

Voici un bon résumé donné par Audrey Sévellec sur téléobs :

Un film de plus sur la Seconde Guerre mondiale et ses horreurs. Pourtant, à l’heure où l’on célèbre le 60ème anniversaire de la libération des camps et où rouvre à Paris le Mémorial de la Shoah, « Un amour à taire » est un film singulier. Celui-ci aborde en effet une déportation oubliée, voire occultée : celle des homosexuels.

Sarah (Louise Monot) est une jeune juive dont la famille, trahie par un faux passeur, a été décimée. La jeune fille trouvera refuge chez Jean (Jérémie Rénier), qui travaille dans la blanchisserie de ses parents. Amoureux de Philippe, un jeune résistant, Jean, interprété par Bruno Todeschini, viendra au secours de Sarah, amie d’enfance et ancien amour d’adolescence, dans une ville où toutes les règles sont abolies, et où seules la méfiance et la peur dictent les conduites. Se créant un îlot d’insouciance chez Philippe, le trio semble flotter hors du monde, désireux de vivre autre chose qu’une guerre qu’ils n’ont pas voulue. Un jour, accusé à tort d’être l’amant d’un officier de la Wehrmacht, Jean est déporté avec, comme marque de son infamie, le triangle rose réservé aux homosexuels. Débute alors une descente aux enfers qui ne laissera personne indemne.

La déportation des homosexuels est un épisode peu connu dans la lourde histoire de la Seconde Guerre ; et c’est pour réparer cet oubli que les scénaristes, Pascal Fontanille et Samantha Mazeras, ont décidé d’en faire le sujet d’une fiction. Perrine Fontaine, fière de porter ce projet pour France 2, explique : « La fiction peut aussi apprendre et être ludique » ; et parle d’un « film-événement, devoir de mémoire incontournable » que le service public se fait un honneur de présenter. Le choix du téléfilm, lui, s’est fait naturellement, les scénaristes et le réalisateur, Christian Faure, souhaitant donner à voir au plus grand nombre cette fiction historique. Portée par l’extrême justesse des acteurs, celle-ci exprime avec pudeur la relation homosexuelle, comme une histoire d’amour comparable à toute autre, car dans «Un amour à taire», ce qui pose problème, ce sont les autres et leur vision de l’homosexualité », explique François Aramburu, producteur. En France, il faudra attendre 1981 et François Mitterrand pour que l’homosexualité soit dépénalisée, et le début du xxi e siècle pour que les homosexuels soient reconnus comme victimes de la déportation. Une lente reconnaissance, qui trouve son écho dans ce film poignant.

On va pleurer dans les chaumières.

11h26 permalien

Réponses

Je vais écrire là dessus...
2005-03-07 11:23:56 de cossaw, grand spécialiste en rien
J'ai pleuré comme une madeleine jusqu'à la fin.
2005-03-07 23:17:53 de Ghalys
C'est nul ! C'est copié sur le roman Folle Alliée d'Emma PSYCHE ! toujours dispo à la librairie les mots à la bouche et sur leur site....
2005-03-11 10:04:53 de Thierry
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