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Souvenirs d’un soldat de Vercingétorix, première partie, Les Parises de Lutèce
J’ai acheté ce livre dans une boutique de livres ancien à Morlaix. Il est épuisé depuis longtemps, mais une copie est disponible sur le site de la BNF. Ce sont surtout les illustrations de ce livre qui m’ont attiré, elles représentent principalement des guerriers gaulois, celtes et romains. Le bord doré du livre m’a aussi plu. Cela m’amuse de lire un livre ancien à bord doré dans le métro.
L’histoire est assez prenante, malgré le style ancien (et un peu pompeux) de l’auteur. Ce livre est présenté comme les mémoires de Vénestos le chef du village de la rivière aux Castors qu’on aurait retrouvés sur des rouleaux de papyrus datant de 51 avant Jésus-Christ. Cette rivière aux Castors (la Bièvre) est située, en fait, à coté de Lutèce (Paris), plus précisément à la Roche Grise (Bicêtre). Ce livre raconte ensuite l’histoire de la jeunesse de Vénestos, comment il devient le chef du village, comment il se trouve une copine nommée Ambioriga, et comment il s’engage avec ses pôtes Dumnac et Arviragh au coté de Vercingétorix dans une guerre contre les méchants romains qui asservissent la Gaule. Le livre s’arrête avant le début de la bataille contre les romains. Je vais devoir trouver la deuxième partie de cette histoire.
Certains passages reflètent tout à fait les idées de l’époque du véritable auteur (Alfred Rambaud) de ce livre. Notamment quand il aborde la place de la femme (« aussi intelligentes que leur mari ») ou la religion des gaulois (dont les druides auraient déjà cru au Dieu unique).
aussi intelligentes que leur mari