Le meilleur des mondes

J'ai lu dans le métro "Le meilleur des mondes", d'Aldous Huxley

cet œuvre fait partie de la liste des livres "à lire". A l'époque (il a été écrit en 1931), il avait du marquer les esprits car il a été banni plusieurs fois des ventes. Il est vrai qu'il présente une version extrême de la sexualité libertaire.

Ce qui me fascine le plus dans ce livre, c'est que bien qu'écrit en 1931, les inventions futuristes que l'auteur décrit ne sont pas démodées. Il y a même une sorte de télé 3D. L'auteur fait bien sur des erreurs dans les prévisions des avancées de la génétique. Mais ce qui est effrayant, c'est que ce monde futuriste imaginaire reste techniquement envisageable : un monde où les individus sont crées génétiquement en fonction des besoins et conditionnés dans des classes sociales prédéfinies, pour faire en sorte que l'économie fonctionne sans accrocs. C'est le fordisme appliqué à la génétique avancée.

L'œuvre a dépassé son auteur. On le voit bien dans la préface qu'il a écrit a posteriori. Car ce monde imaginaire parfait fait parfois partie des tentations des hommes politiques. C'est pour cela que c'est troublant d'envisager avec autant de précision un tel monde.

Millenium

J'ai emmené poussinet voir Millenium

L'adaptation américaine du tome 1 de la trilogie de Stieg Larsson. Je me souviens que j'avais offert ce livre à ma sœur pour son anniversaire car tout le monde le lisait dans le métro. Je ne doutais pas avant d'avoir vu le film, que c'était aussi trash. Effectivement, un de mes collègues m'avait prévenu qu'il y avait une scène violente de sodomie.

A part cela, l'ambiance du film et le rendu des images est bien plus réussi que dans l'adaptation suédoise du film. Avec mon coté informaticien, j'ai compris comment l'héroïne avait fait pour piquer les mots de passe bancaire du méchant comptable mafieux du film : par la technique du Man in the middle. J'espère que cela ne va pas donner d'idées aux méchants crackers de l'Internet.

Free mobile

Je suis passé chez Free. Cela faisait un moment que j'attendais que Free entre sur le marché de la téléphonie mobile avant d'acheter un téléphone qui ne fait pas que téléphone. A la longue on finissait par ne plus y croire.

Cela faisait un moment que Free avait commencé à faire du "marketing viral" avec une simple fusée ASCII sur le site mobile.free.fr. Tous mes collègues ne faisaient que de parler de ça. Évidemment, le journal télévisé de TF1/Bouygue (opérateur concurrent) a fait très peu allusion à l'entrée de Free en tant qu'opérateur mobile, souvent quelques secondes en fin de journal télévisé.

Le principe des nouveaux forfaits Free est de découpler l'achat du téléphone portable de l'abonnement. Comme ça, le forfait semble beaucoup moins cher. Je me suis donc acheté le Samsung Galaxy ACE, que Free recommandait dans sa liste de téléphone 3G.

Je n'ai pas attendu la puce trop longtemps. Et j'ai eu la chance de la recevoir le jour même du changement d'opérateur de mon numéro. Il faut que je me dépêche de lire le mode d'emploi.

Bruxelles 2 (jour 3)

Après un petit déjeuner copieux à l'hôtel, nous avons fait quelques photos de la ville en attendant l'heure de départ du train.

Nous avons croisé quelques vestiges d'un mur d'enceinte de la ville.

Nous avons même croisé un marché aux antiquités sur la place d'une église. Celles-ci étaient moins coûteuses que celles que nous avions vu la veille.

Puis nous sommes revenus en train. Nous avions choisi la première classe car il y avait un repas gratuit offert pendant le trajet. La différence de prix avec la deuxième classe était parfaitement rattrapée par le petit encas que nous avons eu. Et les sièges de la première semblent toujours plus moelleux qu'en deuxième. Ce doit être une distorsion de perception psychologique.

Bruxelles 2 (jour 2)

Tôt le lendemain matin, nous sommes passé devant l'atomium de Bruxelles.

Ensuite nous avons visité une bonne partie de la journée à la foire des antiquaires de Bruxelles. Poussinet avait eu des places gratuites. Cette ambiance de riches paranoïaques qui rencontrent des vendeurs angoissés est tout à fait dans l'air du temps. Il y avait de vieux tableaux magnifiques (et très coûteux).

L'après-midi pendant la sieste de poussinet, j'ai fait le tour des parcs et jardins pour faire quelques photos. Les sculpteurs belges ont du goût.

Bien sûr le soir, nous sommes retourné dans le quartier gay.

Nous avons fait l'ouverture du Boys Boudoir. Évidemment, il n'y avait personne. Ça a l'air d'un bar animé d'après les photos sur le mur.

Puis nous avons fini au baroque, il y avait autant de monde que la veille.

Bruxelles 2 (jour 1)

Pour changer de l'Allemagne, nous sommes retournés à Bruxelles. Nous y sommes allés en train. Il pleuvait quand nous sommes arrivés.

Après notre arrivée à l’hôtel, je suis parti repérer les lieux touristiques. J'ai donc fait un tour aux galeries royales.

Puis je suis passé par l’Hôtel de ville, les bars gays sont juste à coté.

Les noms des entreprises belges de travaux me font toujours rire autant.

Pour nous divertir le soir, avant d'aller au restaurant, nous sommes passés devant Jeanneke Pis, le pendant féminin moderne du Manneken-Pis.

Puis, nous nous sommes fait avoir en allant dans un restaurant à touristes local. Les menus et le cadre étaient comme il faut, mais la nourriture était mauvaise.

Pour nous consoler, nous avons testé un bar à ours, Le baroque. C'était à peu près aussi bondé que le bear's den. Et la bière était bonne.

Et on a terminé à la reserve, le plus vieux bar gay de Bruxelles où nous étions déjà passé il y a 4 ans. Le bar n'a pas changé, la déco y est toujours typique. Il y avait même quelques couples de filles.

Note pour plus tard

Non, quand on explique à son neveu comment google-iser quelqu'un sous google image, il ne faut pas sur taper un prénom féminin (tel qu'il soit) sans avoir activé le filtre de recherche "strict".

Sinon, après il demande ce qu'elle font les dames toutes nues et peintes en vert.